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bordeaux-Seoul vin/vin

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24 septembre 2009

Notre projet

Au vu de la croissance de la consommation de vins par les coréens et de la diminution des parts de marché des vins de bordeaux au profitde vins italiens, chiliens, nous avons décidé de redynamiser l'impact et la consommation du vin Bordelais dans cette capitale Asiatique par le d'actions politiques, économiques et sociales.D’une part avec un jumelage entre Bordeaux et Séoul, puis à travers un programme visant à créer un centre d'oenologie à Seoul animé par des professionels Bordelais et enfin une action d’aide à la réinsertion de Coréens qualifiées en matière de commerce, victimes de la récente crise économique mondiale.

 

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24 septembre 2009

pourquoi Seoul?


seoul

Nous avons choisi Seoul pour plusieurs raisons qui nous paraissent évidentes :

-          77% de la consommation de vin en Corée se fait à Seoul

-          5 facs entre Bordeaux et Seoul sont déjà partenaires

-          Centre névralgique du pays

Le jumelage entre Bordeaux et Seoul est intéressant car :

-          Aucune ville française n’est jumelée avec cette métropole

-          Athènes est la seule ville européenne jumelée avec Seoul

-          Bordeaux est LA capitale mondiale du vin

 

24 septembre 2009

le jumelage Bordeaux-Seoul

 

Un jumelage est une relation établie entre deux villes de pays différents, relation qui se concrétise par des échanges socio-économico-culturels

C’est avant tout un contrat politique entre deux villes, dans des domaines variés et qui permettent de mener des actions de coopération concrètes et directes avec de nombreux partenaires étrangers, dans des domaines variés : économie, gouvernance, culture, éducation, santé, action sociale, sport…

« Le jumelage peut être considéré comme un cadre de coopération sur tous les terrains possibles. Un jumelage c'est avant tout un contrat politique entre deux collectivités locales, sans limite dans le temps, un champ d'action pluridisciplinaire, la participation directe des citoyens aux actions, une source d'apprentissage, un moyen de sensibilisation et un cadre d'action et de projets » 

 

Les avantages pour la ville de Bordeaux:

 

Actuellement Bordeaux est jumelé avec de nombreuses villes mais seulement une seule en Asie (Wuhan en Chine).

Ce jumelage permettrait à Bordeaux de promouvoir son vignoble et son art de vivre afin d’agrandir  son marché en Asie et développer également son tourisme local tout en élargissant sa dimension internationale.

 

24 septembre 2009

Des Coréens professionels du vin Bordelais


A partir du jumelage avec la ville de Séoul, un projet en vue d’un futur partenariat économique est plus qu’envisageable. Un partenariat entre la Chambre de Commerce de Bordeaux, la faculté d'oenologie de Bordeaux et la Chambre de commerce de Séoul dans l’optique de créer un centre œnologique dans la capitale Coréenne permettrait de former des importateurs et distributeurs qualifiés. Ceci permettrait également d’avoir une implantation en Asie pour les producteurs Bordelais désirant exporter leurs récoltes. Cette formation acquise par les étudiants leur permettrait de se familiariser avec le vin Bordelais afin d’en pratiquer le commerce ultérieurement c'est-à-dire un accroissement potentiel des exportations de vin Bordelais. Les compétences enseignées serviraient aux élèves Coréens de maitriser sa commercialisation, sa distribution et sa dégustation.

Vinexpo_Hong_Kong
 

Ainsi ce projet aboutirait à une ouverture sur un marché en plein essor pour les petits producteurs de la région Bordelaise. En effet, le vignoble Bordelais est déjà présent sur ce marché, seulement en matière d’importations Coréenne, il représente moins de 20% du volume globale de vins et spiritueux, derrière le Chili. 

Cette ouverture développerait un attrait pour l’oenotourisme dans la région Bordelaise, qui serait en mesure de créer des emplois afin d’améliorer son image dans le tourisme du vin. En effet, malgré une image de marque incontestable, Bordeaux accuse un retard important sur des pays tels que l’Afrique du Sud ou les Etats-Unis. Ce développement de l’oenotourisme permettrait de pérenniser l’activité des producteurs autant que le tourisme et les revenus qu’il implique dans la région. 

 

24 septembre 2009

Réinsertion des cadres

 

Depuis plus de trois ans, la Corée du sud connait une baisse constante de son taux de chômage, passant de 3,7% à 3,2%. En 2008, il représente 75 447 chômeurs. Néanmoins les prévisions pour 2009 ne sont pas optimistes.

Nous avons choisi de cibler cette population car dans le cadre de la crise actuelle, les personnes directement touchées seront plus ouvertes à une reconversion et réinsertion dans un domaine. De plus nous pourrons profiter de ce contexte pour recruter du personnel déjà qualifié notamment dans le domaine des affaires.

Nous proposerons donc  un partenariat avec les agences d’emplois internationales Manpower et Adecco présentes à Séoul et le gouvernement français (Orfea). Elles sont les intermédiaires entre le monde du travail et les chômeurs puisqu’elles financeront les formations d’œnologie en vue de créer de nouveaux emplois dans ce secteur en pleine expansion dans la péninsule.

Cependant, il faut pour cela établir des critères de sélection en parallèle pour recruter les chômeurs en vue d’une plus grande efficacité en dehors des exigences déjà établies (être en situation régulière, être âgé de plus de 18 ans …). Il faut pour cela que le candidat en question possède un répertoire d’adresses et des expériences marketing.

 

Cela aboutirait à un projet import-export,  à la création de postes de commerciaux affiliés à des producteurs de vin de Bordeaux et dans une optique plus large, ils deviendraient ambassadeurs du vin bordelais en Corée.

 

Ceci permettrait de stimuler l’économie du pays concerné avec notamment l’augmentation du pouvoir d’achat, un sentiment d’inclusion dans la société car le vin est synonyme de réussite social en Corée.

Investir dans ce projet permettrait une augmentation du pouvoir d’achat, le développement du  sentiment d’inclusion dans la société coréenne en renforçant le lien social et la baisse du coût social du chômage.

Tout ceci étend la confiance envers le gouvernement qui peut par ailleurs s’investir d’avantage dans l’économie du pays 

 

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24 septembre 2009

pourquoi la réinsertion?


A cause de la crise, des cadres se retrouvent sans emploi alors qu’ils possèdent une expérience professionnelle intéressante. Nous souhaitons permettre à ses cadres d’accéder à une formation des métiers du vin. Des étudiants en œnologie et des vignerons iront partager leur savoir à ses coréens. Les meilleurs pourront venir en France pour avoir accès à une formation plus pointue.

Une fois formée, nous pourrons proposer à ces nouveaux œnologues de construire une entreprise d’import-export afin de pouvoir exporter le vin bordelais en Corée. 

 

24 septembre 2009

un manga comme déclencheur de l'engouement pour les vins Francais

ScreenShot002"Les Gouttes de Dieu", BD nippone au goût de polar, plonge dans l'univers du vin : succès d'édition en Asie, au Japon mais aussi en Chine. Et en Corée, où les ventes de bourgogne ont augmenté de 130 %…

« Quand le prestigieux oenologue Y. K. décède, son testament est clair : son extraordinaire cave reviendra à celui de ses deux fils qui résoudra douze énigmes concernant douze vins. Il découvrira alors un treizième et mystérieux flacon, surnommé “les Gouttes de Dieu”. Une chasse au trésor sous forme d'enquête policière, qui va confronter deux frères au caractère et au parcours diamétralement opposés... » A la lecture du synopsis, on se dit qu'on tient le feuilleton de l'été. Une grande saga sur fond de vignoble, de traditions et de trahisons familiales. Du patrimoine en tranches de cinquante-deux minutes, prétexte à visiter les châteaux du Médoc, les caves de la côte de Nuits, et à chanter les délices de la dive bouteille. Bref, une histoire bien de chez nous, tant il est vrai que notre pays est le royaume du vin et qu'il y a en chaque Français un sommelier qui sommeille. Eh bien, non. Tout faux. S'il n'est pas exclu que Les Gouttes de Dieu soit un jour adapté pour le petit écran, pour l'heure c'est un pur manga, écrit et dessiné par Tadashi Agi et Shu Okimoto. Une production 100 % nippone qui, depuis sa parution en 2004, fait un tabac au pays du Soleil-Levant.

Certains lèvent déjà les yeux au ciel, car il y a des sujets avec lesquels on ne plaisante pas. « Qu'est-ce que des amateurs de saké peuvent bien connaître au vin ? Et d'ailleurs, de quoi se mêlent-ils ? Ah, ça doit être joli, tiens ! Sûr que les vignerons ont tous la tête d'Alain Delon, et que la châtelaine, c'est la petite sœur d'Amélie Poulain ! »

Eh bien, amis détracteurs, il n'en est rien. Rarement un ouvrage de fiction consacré au vin aura autant évité les clichetons et les trémolos. Quant à la fiabilité des nombreuses informations qui émaillent le récit, elle est, de l'avis des experts, quasi irréprochable. Aucune bourde, les étiquettes des bouteilles sont dessinées au détail près, et toutes les anecdotes relatées sont véridiques. Cependant, le tour de force est ailleurs : ce manga rend accessible au plus grand nombre un univers jusque-là réservé aux « connaisseurs ». « Les Gouttes de Dieu, résume Stéphane Ferrand, directeur de collection chez Glénat, qui publie la série, c'est un habile mélange entre Le Vin pour les nuls et un polar qu'on a du mal à lâcher. » De fait, les auteurs ont parfaitement réussi à appliquer l'efficacité des techniques narratives du manga au monde du vin. Et cela sans artifices – pas de crimes, de fantômes ni de monstres surgissant des barriques –, juste en jouant sur les personnages, les figures emblématiques et les spécificités du monde viticole. Qui aurait pu se douter que la substitution d'une bouteille par une autre puisse ainsi nous tenir en haleine sur une bonne cinquantaine de pages ?

Les auteurs n'en sont pas à leur coup d'essai. Sous le pseudonyme de Tadashi Agi se cachent en effet Yuko et Shin Kibayashi, frère et soeur à la ville, qui ont déjà signé quelques séries fantastico-policières à succès, comme Get backers et Psychometrer Eiji. Un tandem de jeunes quinquas, très « bohèmes chics » nippons, initiés dès l'enfance à la gastronomie française par leur grand-père. Des « mordus » qui ont fait de nombreux voyages consacrés à la dégustation, notamment en Bourgogne. Bluffant même à l'occasion les viticulteurs du cru. Producteur de vosne-romanée, Emmanuel Rouget – qui figure à son insu (!) dans le tome 2 – se souvient encore de « la sensibilité de leur palais » et de « leur capacité à mémoriser très précisément les vins qu'ils ont goûtés ». « Nous avons voulu changer l'image austère que le vin a encore largement en Asie, expliquent Yuko et Shin Kibayashi. Montrer que ce n'est pas un alcool "formel" et sophistiqué, réservé à une élite, mais une boisson qui donne libre cours à l'imagination et à l'inspiration... Lorsque nous buvons un vin ensemble, nous essayons de trouver des expressions ou des images plaisantes mais inhabituelles pour le décrire. C'est une sorte de jeu, dont la seule règle est de ne jamais utiliser le langage des sommeliers (1). »

On imagine assez mal un vendeur de chez Nicolas comparant, comme dans le manga, un moutonrothschild à L'Angélus de Millet ou un premières-côtes-de-bordeaux à un concert de Queen ! Pourtant cette audace, ce sacrilège qui offensera plus d'un gardien du temple, ne déplaît pas à certains pontes. Professeur à l'Académie du vin de Paris, auteur de plusieurs encyclopédies qui font autorité, Michel Dovaz ne s'est pas fait prier pour préfacer Les Gouttes de Dieu. « Au début du XXe siècle, le langage du vin était ampoulé, "bachique", souvent ridicule, on parlait alors de "cuisse de nymphe". Puis on est passé à un vocabulaire technique, savant, rébarbatif... Il est bon de sortir le vin de tout cela, d'avoir comme dans ce manga une approche ouverte, "moderne", qui joue sur les sens et l'émotion. Comme le disait Debussy : "La musique ne s'apprend pas, le plaisir est la règle." Il en est de même avec le vin. »

Un plaisir auquel les plus riches pays d'Asie sont en train de succomber. Succès au Japon, la série, qui compte déjà quinze tomes, enthousiasme également les Chinois et passionne les Coréens. Avec des conséquences inattendues. La simple mention d'un vin dans le manga suffit à déclencher des réactions pavloviennes, du genre « je le vois, je le veux ». Ainsi l'éloge du château-mont-pérat 2001, qui ne compte pourtant pas parmi les plus prestigieux domaines du Bordelais, a provoqué un pic des commandes. Deux jours après la parution, un importateur taïwanais en a subitement acheté cinquante caisses, et aujourd'hui les bouteilles s'arrachent au Japon. Grands bénéficiaires de cette nouvelle soif : les vins français, et particulièrement les bourgognes, choyés dans le manga. L'engouement est spectaculaire en Corée du Sud, où il y a clairement un avant et un après-Les Gouttes de Dieu. Depuis sa publication, en 2006, les ventes de bourgogne ont augmenté de presque 130 % ! « Là-bas, explique Nelly Blau-Picard, responsable export au Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne, il n'est pas rare que les acheteurs viennent dans les bars à vin qui fleurissent à Séoul, avec leur exemplaire sous le bras, et montrent directement la bouteille dont ils ont envie. L'année dernière, sans savoir ce qui se passait autour de ce manga, nous sommes allés faire goûter nos vins en Corée : en une journée, nous avons reçu la visite d'une quarantaine d'entreprises, plus de neuf cents personnes ! » Un manga qui donne envie de déboucher de bonnes bouteilles, difficile de rêver meilleure aubaine. Reste à savoir si les buveurs d'eau ou de sodas, qui dans l'Hexagone composent le gros des lecteurs de BD japonaises, seront sensibles à ce moderne cheval de Troie.

Stéphane Jarno - Télérama n° 3049 - 22 juin 2008


ScreenShot001


22 septembre 2009

La consommation de vin explose en Corée du Sud

Les ventes de vin en Corée du Sud ont fait un bond spectaculaire en 2006 : +30% d’augmentation en valeur par rapport à 2005.


Cet essor est favorisé par l’augmentation du revenu moyen et par l’élévation du pouvoir d’achat grâce au cours élevé de la monnaie sud-coréenne par rapport aux autres devises.

Mais le principal booster des ventes de vin est un manga japonais sur le vin qui fait un malheur en Corée : plus de 9 volumes ont déjà été publiés, vendus à plus de 700 000 exemplaires.

Même les personnes de plus de 60 ans sont des accros de cette BD et ont réclamé une édition en plus gros caractères, aujourd’hui disponible à la vente.

Le livre a un tel succès que les représentants officiels du gouvernement tout comme les patrons des grandes entreprises le recommandent comme livre d’initiation au vin. Le patron de Samsung a récemment déclaré que si on voulait réussir en société, il fallait désormais connaître le vin. Résultat tous les emplyés du chaebol se sont précipités sur la BD...

Certaines grosses entreprises l’offrent à leurs nouveaux employés dans l’espoir qu’il leur permettra de raffiner leur goût et leurs manières.

Les Coréens ont l’habitude de consommer de la bière ou du soju l’alcool traditionnel du pays, ou d’autres alcools forts, ou encore un mélange de tout ça, qu’ils avalent d’un coup. « Cette pratique sauvage est en train de céder le pas à des modes plus sophistiquées de consommation. Le manga joue un rôle déterminant dans la promotion de ces nouveaux codes », affirme un responsable d’une société de distribution de vin. « L’impact de ce manga est énorme sur les ventes, confirme l’éditeur du livre. Chaque fois qu’un nouveau volume est édité sur un nouveau vin, les ventes explosent. Les ventes de vins de Bourgogne sont par exemple très dynamiques car c’est un vin qui est souvent cité dans la BD ».

 

22 septembre 2009

Le Beaujolais nouveau a coulé en Corée

Les soirées Beaujolais se sont multipliées cette année en Corée du Sud. Si le vin primeur souffre en raison du cours de l'Euro, l'esprit de fête qu'il véhicule est de mieux en mieux perçu en Corée.


Les chiffres sont peu connus car le Beaujolais a été importé par une multitude d'agents différents en Corée. Mais dans un contexte un peu moins favorable pour le vin depuis quelques semaines en Corée, le succès semble être au rendez-vous.
 
D'une part beaucoup d'évènements très festifs avaient été organisés. Bien dans l'esprit du Beaujolais nouveau. C'est une rupture par rapport à une "tradition" coréenne asez guindée autour du vin.
 
D'autre part, la qualité était au rendez-vous. Le Beaujolais nouveau a beaucoup progressé. Et même si son prix est toujours très elevé en Corée (au moins 20 000 wons) en raison des coûts d'acheminement et des taxes, on est loin de la piquette qui donnait mal à la tête...

 

21 septembre 2009

apports potentiels

- création d'emplois lié au développement de l'oenotourisme 

- développement de l'import-export de vins Bordelais à Seoul

- reprise de parts de marché sur le marché de Seoul

- Améliorations de la notoriété et de l'image de Bordeaux en Asie  

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